Un maquis du Périgord dans la Seconde Guerre mondiale
(novembre 1943 – 12 juin 1944) Tome 1)
Cet ouvrage dépasse les lieux communs et les discours convenus sur la Résistance.
La création du Service du travail obligatoire, le 16 février 1943, entraîne l’afflux vers les maquis de milliers de réfractaires au départ en Allemagne. La Résistance française devient alors un véritable phénomène de masse et passe progressivement à l’action armée contre l’occupant.
En Dordogne, comme partout ailleurs, les maquisards forment une communauté qui possède ses propres codes et rituels nécessaires à sa survie ; car la mort rôde toujours au coin d’un bois ou au bord d’une route et elle frappe régulièrement ceux qui sont continuellement traqués. À ces dangers extérieurs, s’ajoutent des rivalités internes qui conduisent parfois à des scissions et à de violents antagonismes.
Tous ces aspects sont abordés et replacés dans leur contexte dans cet ouvrage qui souhaite dresser un tableau exhaustif et objectif de la vie d’un groupe de maquisards dans toute sa complexité, avec sa grandeur, mais aussi sa part d’ombre.
L’auteur évoque la lutte contre -l’occupant mais également des thèmes plus rares, tels que l’amour et la sexualité au maquis, les faux maquis et les règlements de compte sanglants.
Il relate dans cet ouvrage très documenté, issu de plus de 15 années de recherches auprès de plusieurs centaines de témoins et dans de nombreux centres d’archives, l’histoire d’un maquis du Périgord, de la forêt de la Double aux confins du Quercy.
294 pages, 362 photos et documents
Éditions L’Histoire en Partage
Patrice Rolli est diplômé en Histoire, Anthropologie et Histoire des Civilisations (EHESS, Paris). Il est l’auteur de plusieurs ouvrages de référence sur la Résistance et l’Occupation en Dordogne. Éditions L’Histoire en Partage / histoire.partage@yahoo.fr
Retrait gratuit en magasin à Bergerac
Expédition France métropolitaine : 8,00 € lettre suivie sans signature
Expédition Outre-mer et étranger : prix indiqué dans le panier selon destination
Avis
Il n’y a pas encore d’avis.